Presse
Portrait
«Elle est de ces personnalités que l’on n’oublie pas. La soprano Michèle Bréant (née en 1999) séduit par la beauté dramatique de son jeu. C’est le charme d’une ancienne époque, une théâtralité jouant avec les vertiges de l’art lyrique qu’incarne la chanteuse. On retrouve, dans la clarté de sa voix, le souvenir d’une poésie oubliée mêlée à une conception artistique résolument tournée vers l’avenir. Une énergie voilée de grâce qui l’a amenée à se produire à l’Opéra de Leipzig, au Concertgebow d’Amsterdam, à la Seine Musicale ou encore à la Philharmonie de Paris. Premier Prix du Concours Lortzing de Leipzig en 2022, talent Adami Classique 2024 et après un passage à l’Académie Jaroussky, Michèle Bréant rejoint la promotion 2024-2025 de l’Académie de l’Opéra-Comique.»
Antoine Sibelle pour Transfuge
Zerlina
«La Zerlina de Michèle Bréant est tout simplement délicieuse, sans coquetterie inutile, vocalement irréprochable.»
Bachtrack, (Jean Pierre rousseau)
«Michèle Bréant compose une séduisante Zerlina, menant de son timbre clair un « Batti, batti o bel Masetto » d’une parfaite musicalité.»
Forum Opéra (Clément Taillia)
«Michèle Bréant est une Zerlina magnifique. Menue, rusée, tentée puis fuyante, elle incarne à la perfection cette jeune paysanne qui cherche et trouve la voie pour échapper à Don Giovanni tout en protégeant son fiancé»
Cultures.blog (Micheline Rousselet)
«Michèle Bréant est une Zerlina tout à fait charmante, voix légère et agile qui sied au rôle, et engagement scénique qui la rend amusante et sympathique, réussissant fort bien le « Batti, batti, o bel Masetto ».
Cult.news (Helene Adam)
«Michèle Bréant compose une Zerline suave, toute de grâce et délicieusement piquante»
Musicologie (Frédéric Norac)
«La Zerlina de Michèle Bréant apporte, par la beauté son instrument et l’intelligence de son jeu, une épaisseur humaine inhabituelle à son personnage.»
Concert Classic (Pierre-René Serna)
Eurydice
«L’Eurydice de Michèle Bréant a ce côté aérien, innocent, sincère dans son amour, convoité et désiré, autant par Orfeo, que par son frère. La jeune Soprano, outre une silhouette de rêve et un sourire délicieux, possède un timbre suave, rond, coloré. Elle est capable de « forte» impressionnants qui traversent sans problème la salle de part en part et on est submergé d’émotions avec son magnifique «Orfeo tu dormi?», ses vocalises, ses trilles délicates, ses aigus fruités et son timbre gorgé de tout la peine du monde des enfers quand elles contemple son amant abandonné.»
Cult.news
«L’Eurydice de Michèle Bréant s’avère un petit miracle de grâce et de suavité »
Musicologie
« Si tous et toutes méritent des éloges, on se régale particulièrement du ravissant Soprano de Michèle Bréant, Eurydice fraîche et résolue»
Télérama
Opéra-Comique
«C’est Michèle Bréant qui ouvre la soirée avec Les Fêtes Galantes de Debussy, proposant de gracieux sons filés, dotés d’un souffle long…la soprano s’épanouit dans Fantoche et dans l’extatique Clair de lune qu’elle vivifie d’un phrasé solidement construit.»
Olyrix (Philippe Scagni)
Mahler
«L’excellente soprano Michèle Bréant au timbre cristallin, dont la belle présence prouve que l’acoustique de la Philharmonie n’est pas toujours impitoyable pour les voix»
Forum Opéra (Laurent bury)